Bon marché et gorgé de bienfaits nutritionnels, ce thon miniature se cuisine en un tour de main.

Sur l’étal du poissonnier

Il se reconnaît à son museau pointu et à son corps fuselé et tigré. Préférez un maquereau de ligne, toujours plus frais et savoureux qu’un maquereau de chalut qui a séjourné dans de la glace. Sa rigidité est gage de fraîcheur.

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Comment l’apprêter ?

La chair des poissons gras – dont le maquereau fait partie – s’altère vite. Cuisinez-le au mieux dès le retour du marché, à défaut dans les deux jours suivants. Une cuisson au four, au court-bouillon, au gril ou en papillote, un filet de citron et un brin d’aneth… La simplicité lui va comme un gant. Qu’il soit frais ou en conserve, le maquereau est riche en oméga-3, ces acides gras encensés par les nutritionnistes.

Avec modération

Le maquereau vient d’être retiré de la liste des poissons à consommer sans modération. La MCS (Marine Stewardchip Concil), l’organisation de défense de l’environnement, s’inquiète de voir les stocks diminuer en raison de la surpêche. Il ne s’agit pas de s’interdire d’en manger mais de s’assurer, lors de l’achat, qu’il provient d’une pêche durable (labellisée MCS).

Les maquereaux de Ô’Poisson proviennent du port de pêche des Sables d’Olonne

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