Pour tenter de remporter le dénoyauteur Tompress, merci de renseigner votre adresse e-mail ci-dessous.

Les cerises, choisissez-les selon votre goût, douces ou acidulées, pour les cuire ou les croquer, mais surtout ne passez pas à côté.

L’aigre et le sucré

Grosso modo, il existe deux familles de cerises. La griotte et ses dérivés (la montmorency, par exemple, photo ci-dessus) ont un goût acidulé ou aigrelet. En revanche, la bigarreau, qui se décline en burlat ou en napoléon, est douce. Elle descend du merisier, qui pousse dans nos bois, pour le plus grand bonheur des moineaux et des étourneaux friands de ses fruits.

Le temps des cerises

La saison des cerises est brève : les premières sont cueillies en Provence en mai, les dernières dans le nord de la France début août. Cette présence éphémère sur nos marchés participe au charme.

Le cru et le cuit

C’est bien connu, les meilleures cerises sont celles qu’on mange… sur l’arbre. À défaut, sur le marché, il faut les choisir bien fermes et brillantes. Les conserver dans le bac du réfrigérateur et les consommer dans les deux jours. En cas d’abondance, on peut faire des bocaux, des confitures ou des clafoutis. Mais n’hésitez pas à les tester également en version salée, avec un magret de canard ou encore en chutney avec une terrine de sanglier.

Comment retirer le noyau d’une cerise sans perte de chair ?